
contemporain Warmingland sur
le réchauffement climatique et le développement
durable
et Douglas White (Angleterre).

Clin d’œil humoristique à Alice au pays des merveilles (Alice in Wonderland) de Lewis Carroll, l’exposition Warmingland montre que ce pays merveilleux qui est notre terre se réchauffe de manière préoccupante. Warmingland projette de l’autre côté du miroir dans un monde où l’air est pollué, où les coraux blanchissent et où les îles disparaissent sous la montée des eaux. Mais aussi un monde où les citoyens s’émerveillent des beautés de la nature, se mobilisent et participent à la sauvegarde de leur bien commun. Dans une approche sensible et participative, Warmingland ne vise pas tant à dresser le constat d’une planète en crise qu’à inviter poétiquement le visiteur à prendre conscience des enjeux et à donner envie d’agir.
« Chaque homme est un artiste » affirmait l’artiste et environnementaliste Joseph Beuys. En matière de climat, créer un monde moins carboné est dans nos mains.
Jean Jouzel, président du Forum International Météo et Climat, est convaincu que cette ouverture à l’art s’impose aujourd’hui, car la transition écologique est également une transition culturelle. Il affirme : « Les artistes ont vraiment un rôle à jouer dans la prise de conscience du réchauffement climatique et de ses conséquences. »
Le visiteur est invité à découvrir des œuvres phares, comme un voyage à la fois ludique et sensoriel, engagé et émouvant.
Black Palm
de l’artiste anglais Douglas White

Antarctica World Passport
du duo d’artistes Lucy + Jorge Orta

Village Green
de l’artiste américaine et environnementaliste Vaughn Bell

Corail / Artefact
de Jérémy Gobé

Maskbook

L’exposition Warmingland est organisée avec le soutien de
la Fondation Schneider Electric, LVMH, Mirova (Natixis Investment Managers), GreenFlex et Enercoop.